Manuel Ruiz de Lopera ne s'en cache pas, depuis qu'il a sauvé le club en 1992, son Betis version 2008-2009 est certainement la meilleure qu'il ait connu. S'il laissera sa place d'actionnaire majoritaire du club en octobre prochain, 2008 est pour lui l'année du grand cru. L'année où il présente son projet, un projet brillant, fruit du travail de 16 longues années.
Et c’est sur un ton triomphant qu’il s’est exprimé avant hier sur la radio du club à propos de son équipe, sa fierté. Le club verdiblanco entre en effet dans une phase nouvelle. La venue du nouveau champion d’Europe Sergio García témoigne en effet des ambitions nouvelles affichées par le club. Ruiz de Lopera s’en frotte d’ailleurs déjà les mains « Sergio García n’a négocié avec le Bétis que dix ou douze jours avant de venir car il avait déjà rencontré auparavant l’équipe de Juande Ramos (ndlr, entraîneur de Tottenham) mais a finalement décidé de venir chez nous ».
Avec cette entrée en matière, Ruiz de Lopera en profite pour rééditer sa volonté de construire un grand club « Il y a eu 30 millions d’euros d’investis cette année. En Première Division, il y a quinze équipes qui n’ont pas les moyens d’investir autant.
Et à ceux qui me disent que j’investis parce que je m’en vais, je leur réponds que les propriétaires de l’Espanyol Barcelone et de Majorque sont parties en vendant tous les meilleurs joueurs de leurs équipes, pas moi. Je veux que le Betis puisse se battre jusqu’à la fin et je crois que cette année nous avons la meilleure équipe de l’histoire du club ».
C’est donc avec cette émotion comme vecteur principal et sa force de conviction que l’actionnaire majoritaire du club Andalou veut prouver sa bonne foi à tous ses détracteurs et lâcher ses dernières forces dans la lutte.
Et c’est sur un ton triomphant qu’il s’est exprimé avant hier sur la radio du club à propos de son équipe, sa fierté. Le club verdiblanco entre en effet dans une phase nouvelle. La venue du nouveau champion d’Europe Sergio García témoigne en effet des ambitions nouvelles affichées par le club. Ruiz de Lopera s’en frotte d’ailleurs déjà les mains « Sergio García n’a négocié avec le Bétis que dix ou douze jours avant de venir car il avait déjà rencontré auparavant l’équipe de Juande Ramos (ndlr, entraîneur de Tottenham) mais a finalement décidé de venir chez nous ».
Avec cette entrée en matière, Ruiz de Lopera en profite pour rééditer sa volonté de construire un grand club « Il y a eu 30 millions d’euros d’investis cette année. En Première Division, il y a quinze équipes qui n’ont pas les moyens d’investir autant.
Et à ceux qui me disent que j’investis parce que je m’en vais, je leur réponds que les propriétaires de l’Espanyol Barcelone et de Majorque sont parties en vendant tous les meilleurs joueurs de leurs équipes, pas moi. Je veux que le Betis puisse se battre jusqu’à la fin et je crois que cette année nous avons la meilleure équipe de l’histoire du club ».
C’est donc avec cette émotion comme vecteur principal et sa force de conviction que l’actionnaire majoritaire du club Andalou veut prouver sa bonne foi à tous ses détracteurs et lâcher ses dernières forces dans la lutte.
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